Bonjour à tous les passionnés de véhicules anciens, rares ou d’exceptions
6062010-
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Prochain rassemblement le
Dimanche 7 février 2021
Le 261 ème
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C A R R E D ‘ O R
9 h / 12 h
CHÂTEAU ROUSSILLON
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Merci de lire
la charte de bonne conduite
qui fait office de règlement
intérieur du rassemblement
Réglementation pour les véhicules de moins de 30 ans.
Conduite à tenir en cas de feu de véhicule.
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Emplacements exposants visiteurs
Voir album « Lieu du rassemblement, accès, horaires et emplacements »
Pour les visiteurs
Parkings supermarché Carrefour
et Banque Populaire (coté Porsche)
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Pour les exposants
… AUTO-disciplinez vous !
Emplacement par thème
(ancêtres, populaires, américaines, motos, clubs …)
A partir de 10 h 30 l’emplacement est libre
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Les autos et motos de collection peuvent de temps
en temps marquer leurs territoires en déposant
sur les sols quelques gouttes d’huile.
Des tapis
sont mis à la disposition des exposants qui se garent
sur le bitume rouge, afin d’éviter les taches, merci
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Venez vendre, le 1er dimanche du mois,
vos pièces, accessoires, documents, miniatures, …
Règlement, voir Charte de bonne conduite
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La vente de véhicule est interdite
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Pour mettre fin à ceux qui n’ont pas l’esprit du rassemblement
et qui ne respectent pas le travail de l’organisateur.
Un autocollant sera peut être déposé sur le véhicule malfaisant !
Ceux qui viennent vendre leurs véhicules et
ceux qui n’ont pas l’esprit du rassemblement
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L’autocollant RVA66 est disponible à 1 euro
le réclamer auprès de l’organisateur
Offert aux conductrices
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Retrouvez aussi les infos du
sur Facebook : Rva66 Canet
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Crée en 1911 par les monégasques Gabriel Vialon (huissier)
et Antony Noghès (20 ans, fils d’Alexandre Noghès,
(cigarettier, déjà !) et Président du Sport vélocipédique et
automobile de Monaco). Le rallye automobile Monte-Carlo
n’est pas encore à proprement parler une épreuve sportive,
mais plutôt un moyen d’attirer, durant les mois d’hiver,
la jet set à Monaco, ville rivale de Nice sur la côte d’Azur.
Chaque véhicule part avec son équipage de la ville où
il s’est engagé et rallie Monte-Carlo par la route.
À l’époque, traverser l’Europe en plein hiver est un exploit.
Le vainqueur est l’équipage qui est arrivé à Monaco en respectant
une moyenne horaire imposée par les organisateurs.
Le véhicule le plus insolite à avoir fait le
rallye Monte-Carlo est en 1934 un autocar Citroën T45.
Une idée insensée d’André Citroën toujours à la recherche
d’évènements spectaculaires pour communiquer sur ses produits.
Afin d’ajouter une touche de glamour à l’évènement, il avait été
envisagé d’installer à bord de ce T45 plusieurs «pin-up »
au physique avantageux. Mais après réflexion, un équipage
composé d’une dizaine de mécanos expérimentés ayant
participé à la traversée du Sahara et aux croisières noire
et jaune fût préféré. Ils furent conduits par un homme
de défi François Lecot.
L’autocar fût préparé par les usines Citroën quai de Javel
puis acheminé à Varsovie en Pologne, ville de départ de
ce raid de 2614 km. Bravant le froid et les routes défoncées,
l’équipage n°144 rejoignit Monaco en une soixantaine d’heures
après avoir traversé la Pologne, la Tchécoslovaquie,
l’Allemagne et la France (Strasbourg). Le rendez-vous
incontournable de la traditionnelle tarte aux pommes
d’Yvette n’existait pas encore (mais ça, c’est une autre histoire).
L’autocar fût classé à la 90e place. Pour la petite histoire,
avant de se présenter à l’arrivée, le T45 fût astiqué comme
s’il sortait de chaine et ses passagers échangèrent leurs
combinaisons de mécaniciens contre d’élégants vêtements
de ville. Imaginez la surprise des spectateurs en voyant
débarquer cet insolite équipage censé avoir affronté les
terribles routes verglacées d’Europe centrale ainsi affublé
de tenues qui dénotaient de celles des autres concurrents.
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Cela prend forme
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Auto 4A - Dégraissant KH-7 - Mécatechnic
la Pierre d’argile – Vitale Perpignan – Cipère
Ichard – Comptoir de la carrosserie – Renel
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Capestang (34)
Rassemblement le dernier dimanche du mois
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Prochainement
En attente de confirmation
Avignon – 26, 27 et 28 mars 2021 (à ne pas louper)
Palavas - 24 et 25 avril 2021
Nîmes - 15 et 16 mai 2021
St Gaudens - 12 et 13 juin 2021
Barcelone - 14, 15 et 16 juin 2021
Canet d’Aude - 20 juin 2021
Moussoulens - 14 juillet 2021
Limoux - 7 et 8 août 2021 (à ne pas louper)
Toulouse - 11 et 12 septembre 2021 (Bof)
Narbonne - 11 et 12 septembre 2021
Lyon Epoqu’auto - 5, 6 et 7 novembre 2021 (à ne pas louper)
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40 ans cette année
Peugeot 504 Dangel / Peugeot P4 / Renault 9 et 11
Fiat XR2 / Mercedes 380 SEC / Porsche 944
Renault 5 Turbo / Bmw 528 E28 / De Lorean DMC 12
Fiat Ritmo 105 et Abarth / Fiat Argenta / Honda Accord EX
Lamborghini Jalpa / Godier-Genoud 1135 R / Bmw R65 LS et R100CS
Honda CX 500 Turbo / Honda 1000 CBX / Ducati 900 MHR
Suzuki 1100 KATANA /Egli Honda / Yamaha DT 50 et 80
Laverda 1000 Jota 120 / Kawasaki GPZ 500 / MF 650
Moto Guzzi 850 LE MANS III et V65 / Suzuki DR 400 S
Moto Morini 500 Camel / Triumph TSX Custom / Yamaha XJ 400
Honda 125 RDLC / Bimota KB2 / Motobécane M50 EV
Zundapp KS 80 Touring / Fantic 240 Trial / Husqvarna WR 430
Peugeot 103 MVL / Bentley Mulsanne Berline / Chrysler Impérial coupé
Citroën 2cv Charleston / De Tomaso Lonchamps cabriolet / Matra Muréna
Mercedes 500 SL / Talbot Tagora / Volvo 240…
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BUGATTI BABY
En 1926 pour l’anniversaire des 4 ans de son fils
Roland (1922-1977), Ettore Bugatti et son fils Jean,
alors âgé de 17 ans, décident de concevoir un modèle
réduit de la voiture de compétition Championne du
Monde. La Bugatti Type 35 « grand prix » a marqué
à jamais l’histoire du sport automobile en remportant
plus de 2 000 épreuves. La Bugatti Type 52 ou Bugatti Baby
ou Bébé Bugatti est une Bugatti Type 35 à l’échelle 1/2.
Cette version miniature devait à l origine demeurer
une pièce unique mais devant le grand
enthousiasme des clients qui visitaient l’usine de
Molsheim et qui voyaient l’enfant rouler avec ce jouet
à quatre roues dans la cour, Ettore en fait produire
500 exemplaires. Avec son moteur électrique Paris-Rhône
de 3,5 cv en position arrière droit (moteur essence
en option) la Baby peut atteindre les 20 km/h.
Elle est équipée d’une batterie 12 volts, d’une
boîte à 2 vitesses (l’accélérateur est associé à
un rhéostat et un inverseur de polarité permet la
marche arrière). La Type 32 a des suspensions à
ressorts à lames semi-elliptiques avant et arrière
et 4 freins à tambours. Elle mesure 1,82 m de long,
0,62 m de large, 0,75 m de haut et a un empattement
de 1,35 m pour un poids de 75 kg. En 1926, Bugatti
la présente au Mondial de l’automobile de Paris et
au salon automobile de Milan, puis l’ajoute à
son catalogue commercial entre 1927 et 1936.
La Baby est devenu un modèle officiel Bugatti.
Comme les autres productions de la marque,
cette voiture de sport pour enfant est réservée
à une clientèle richissime élitiste de têtes
couronnées et de stars de l’époque, son prix
s’élève à 5000 francs de l’époque.
Ettore Bugatti offrit un exemplaire à deux
grands de ce monde, Baudoin futur roi des Belges
et Hassan II, futur roi du Maroc. En 1950, dans la
bande dessinée Tintin au pays de l’or noir, Hergé
en représente une offerte par l’émir Ben Kalish Ezab
à son fils le prince Abdallah (Hassan II ?).
De nombreuses courses automobiles de Bugatti
Type 52 pour enfants étaient organisées à l’époque
dans les stations balnéaires de Deauville, La Baule
et Monte-Carlo… . À ce jour, la Bugatti Type 52 est
très prisée. En 2008, un modèle est adjugé 110 000
dollars aux enchères. Il n’en resterait que 120,
inutile de préciser que ce modèle d’époque est
très recherché par les collectionneurs.
Pratiquement 100 ans après la création de la
Bugatti Baby, le constructeur de Molsheim lance,
en juillet 2020, la production de la Baby II.
C’est à l’occasion du salon de Genève 2019 et
des 110 ans de Bugatti que ce nouveau projet
de Bugatti Baby II a été révélé par le
constructeur français. Elle est aussi une
reproduction de la Type 35 mais cette fois à
l’échelle 3/4 pour pouvoir s’adresser à des
adolescents. Conçue à l´aide des technologies
les plus modernes, la Baby II est aussi produite
à 500 exemplaires dans le plus grand respect
de l’héritage automobile de la marque.
Déclinée en 3 versions, chacune 100 % électrique.
Le modèle de base a une carrosserie en composite,
une batterie de 1,4 kWh, une puissance de 1,36 cv,
20 km/h de vitesse de pointe, 25 km d’autonomie
pour un prix de 30 000 €. Le modèle « Vitesse »
a une carrosserie en fibre de carbone, une batterie
de 2,8 kWh, une puissance de 5,44 cv, 45 km/h
de vitesse de pointe et un prix de 43 500 €.
Et enfin la version « Pur Sang », carrosserie en
aluminium, fabriquée à la main comme à l’époque,
200 heures sont nécessaires pour ce travail
artisanal, batterie de 10 kWh (packs de batterie
lithium-Ion amovibles), freinage régénératif, une
puissance de 13,6 cv, 70 km/h de vitesse de
pointe (option Speed Key). Ce n’est plus une
cour qu’il vous faut, c’est un parc ! Une
autonomie de 50 km et un poids de 230 kg, le
tout pour la modique somme de 58 500 €.
La Baby II intègre des technologies dignes des
autres Bugatti comme des suspensions réglables
et des freins hydrauliques. Toute la gamme a
droit à une plaque numérotée édition limitée,
un différentiel autobloquant à l’arrière, l’engin
étant évidemment une propulsion. Le superbe
tableau de bord est en aluminium bouchonné
avec différents instruments et boutons
personnalisés avec le logo de Bugatti et un badge
commémorant les 110 ans de la marque (pour les
modèles de 2019). Le volant à quatre branches est
une reproduction à l’identique de la Type 35,
le siège est en cuir, les roues caractéristiques à
huit branches en alliage d’aluminium sont des
répliques à l’échelle de la Bugatti de 1924, le
macaron « Bugatti » sur le radiateur est en
argent massif (50 g). C’est la réplique exacte
de celui de la Chiron mais à 75 %… La Baby II
est peinte en bleu racing France traditionnel
mais les acheteurs ont le choix parmi une palette
de couleurs et si vous possédez déjà une Chiron,
vous pouvez personnaliser votre Bébé exactement
aux mêmes couleurs… vous serez assortis !
De quoi expliquer, en partie, les prix hallucinants
pour des voitures d’enfants.
C’est sûr que si le petit abîme son jouet, ça fait mal…
La Bugatti Baby permet à plusieurs générations de
partager leur amour de la marque.
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Prochain article : Le feu vert de dépassement
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LE VEHICULE DU MOIS
PEUGEOT 504 BREAK DANGEL
1981-1985
La Peugeot 504 a été commercialisée entre 1968 et
1996 (Europe) et jusqu’en 2005 Amérique du Sud et Afrique.
Produite à plus de 3,7 millions d’exemplaires sous
diverses formes : berline, break, coupé, cabriolet
( Pininfarina), pick-up, et même 4×4 Dangel.
Les 504 étaient fabriquées par Peugeot puis
transformées par Dangel
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1142 exemplaires du 504 break 4×4 Dangel produits
Essence 1971 cm3 carbu double corps 96cv
Diésel 2304 cm3 injection 70cv
Boite de vitesses manuelle longues et courtes
5 rapports
Transmission totale permanente
Direction à crémaillère
Caisse autoporteuse boulonnée sur faux châssis
Caisse rehaussée de 18 cm
Suspension avant à triangles longs
Double ressorts hélicoïdaux arrière
Freins av disques ar tambours
Poids 1600 kg Lg 4,80 m Lr 1,73 m Ht 1,74 m
Empattement 2,91 m
Pneu 700 x 16 Réservoir 60 l
Vitesse maxi essence 140 km/h – 130 km/h diésel
Consommation 6,3 l /100 km
Peu confortable sur route (sautillant et bruyante)
mais particulièrement efficace en tout-terrain lors
des franchissements et sur pistes rapides,
la fragilité de la boite de transfert semble être
son point faible.
Tout commence par la passion d’un homme, pour
l’automobile et la compétition.
Henry Dangel (1935-2006) faisait partie de
ces passionnés que jamais rien n’arrête.
Électrotechnicien de formation, Dangel se passionne
pour l’automobile et fait ses premières armes en
compétition, il conçoit dans les années soixante des
barquettes appelées Mangouste. En 1976, il devient
l’importateur des jantes BBS (fabricant allemand)
avant d’en assurer la production localemen
t en Alsace. Il continue à travailler sur sa planche
à dessin, il perçoit le besoin de réaliser une voiture
qui associerait aux qualités de routière celles de
franchissement. A cette époque, le 4×4 n’a
jamais réellement intéressé nos constructeurs,
ce n’est pas faute d’avoir essayé. Hotchkiss et
Delahaye sous licence, Renault a commercialisé
une version quatre roues motrices de la Colorale,
Citroën arrive avec un drôle de bricolage nommé
« 2CV Sahara. Dangel décide de créer un kit adaptable
sur une voiture de série, et opte pour la plus fiable
de toute, la Peugeot 504, qu’il choisit en version
break en raison de l’existence d’un pont arrière.
Il conçoit alors une transmission, il fabrique une
boite de transfert, une suspension avant
rehaussée, rajoute des différentiels.
Henry Dangel va breveter son système de
transmission intégrale adaptable à une
propulsion. Le premier prototype est aussitôt
présenté à la firme sochalienne en 1978.
Peugeot l’accueille favorablement et commande
deux autres prototypes afin de vérifier son utilité
et sa fiabilité. En moins de deux ans, Peugeot
donne son aval et consécration ultime, propose
le 504 Dangel dans son catalogue à compter de
1981, elle y restera jusqu’en 1994. Ainsi nait
la firme « Automobiles Dangel » à Sentheim,
en Alsace en 1980. La voiture n’est dans un
premier temps disponible qu’en version essence.
Le Diésel ne sera disponible que plus tard, tout
comme le pick-up qui conserve ses ressorts à
lames d’origine. Aussitôt le succès se confirme.
Des partenariats avec certaines administrations
publiques comme l’EDF, la DDE, la Gendarmerie
ou les Sapeurs Pompiers. Les entreprises,
certains agriculteurs mais aussi quelques
particuliers sont également séduites.
Il y a une limite que la société Dangel ne surmonte
pas, celle de l’industrialisation complexe
de la voiture : produite chez Peugeot,
les 504 sont acheminées chez Dangel
pour être transformées en 4×4.
Pour promouvoir ce nouveau tout-terrain français,
quelques succès en rallye-raid aident à asseoir
la réputation de la Dangel avec notamment une
seconde place au rallye Paris-Dakar 1982…
jusqu’à deux jours de l’arrivée, seul le pick up
n°228 de Marty et Cazalot termine la course
à la 49ème place. En 1985 Nicolas Hulot,
René Metge et Patrik Baudry ont tenté de
battre le record de la traverse Le Cap-Alger
en 504 break 4×4 Dangel
Plus artisanale qu’industrielle, la production
reste limitée avec entre 1981 et 1985 à 4.310
exemplaires fabriqués. L’arrêt de la 504
laisse la place à la 505 qui ne sera proposée
qu’en version break. Des prototypes seront
réalisés, une Citröen Visa V6 4×4, une
Peugeot 305 break 4×4, une 205 GTI 4×4,
deux 309 GTI MI16 4×4 et un J5 6×6.
Entre innovations et exportations,
Automobiles Dangel est sur tous les
terrains, aujourd’hui grâce aux Partner
et Berlingo 4×4 version 5 places,
le grand public la redécouvre.
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LA MAQUETTE DU MOIS
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Pas vu au rassemblement
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Les photos du rassemblement
Si vous voulez partager vos photos du rassemblement
Merci de me les envoyer à : n.bousquet66@sfr.fr
Envoyez vos photos ! n.bousquet66@sfr.fr ou 500@wanadoo.fr
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PHOTOGRAPHES OFFICIELS RVA66
Daniel
Nico
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PLACIER OFFICIEL RVA66
» Dédé «
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LES BOUTE-EN-TRAIN OFFICIELS RVA66
Statler & Maldorf
ou le contraire
et
les hommes et les femmes de l’ombre :
Erik, Nath, Léo, Yannick, Jérôme, Jean Paul, Claude, Hélène …
MERCI à tous
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La liberté de circuler, résistons
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RVA66 (Rassemblement Véhicules Anciens du 66). Depuis le Dimanche 3 juin 2018, le RVA 66 se déroule au Carré d’Or à Château Roussillon. RVA 66, créé par Nicolas Bousquet en juin 1999, démarre à Villelongue de la Salanque (4 véhicules !). Il est devenu aujourd’hui le plus grand rassemblement mensuel de véhicules anciens, rares et d’exception du sud de la France. Au bout de 3 ans, pour cause d’encombrement sur la place du village, RVA 66 se déplace à Bompas. Le succès grandissant (100 véhicules), le manque de place devient un problème pour les véhicules en expo. ainsi que ceux des visiteurs. Nouveau départ pour le parking du marché de gros d’Elne, l’espace est immense (250 véhicules), plus de soucis, sauf qu’ une gendarmerie doit y être construite, il faut donc trouver une nouvelle municipalité pour nous accueillir ! C’est à Canet en Roussillon, sur le parking de la Luna, que nous nous sommes retrouvés. Le parking sera très souvent à bloc (300 véhicules). Le site commençant à être un peu juste, il faut encore trouver un nouveau lieu d’exposition. C’est au Pôle Nautique toujours à Canet en Roussillon que nous avons débarqué. Très bel endroit, en fond d’écran de beaux bateaux et le Canigou, (576 véhicules exposés à la 200 ème) et de très nombreux visiteurs. Ce site devant reprendre sa fonction première, zone technique du port, nous devons encore et encore déménager après vingt ans et plus de 250 rassemblements sans interruption et de plus en plus de monde au rendez-vous. Mais Nicolas est plein de ressources et c’est sur ce nouveau site, du Carré d’Or à Château Roussillon, commune de Perpignan, que nous nous retrouvons aujourd’hui. Merci à tous les participants du département, des départements voisins, aux Catalans du sud, aux touristes et visiteurs de passage.
Merci de votre visite.
A très bientôt lors d’un prochain rassemblement.
Nicolas Bousquet
Catégories : Webmaster
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